Saint-Valentin : une fête importante, mais pas la plus lucrative pour les restaurants

13 février 2025

Comme pour plusieurs autres fêtes annuelles importantes, l’ARQ a sondé ses membres à savoir si la Saint-Valentin s’annonçait bonne pour l’industrie de la restauration en 2025. Les résultats démontrent que la fête reste importante pour notre secteur, bien qu'elle ne soit pas la période la plus lucrative de l'année.

Des résultats mitigés

Pour 34 % des répondants, la fête de l’amour en est une légèrement plus lucrative que la moyenne. Par contre, ils sont tout de même 42 % à mentionner que c’est une fête comme les autres, donc ni plus ou moins lucrative.

Cela pourrait s’expliquer par le type d’établissement exploité tout simplement, certains d’entre eux étant plus propices à ce genre d’événements plus intimistes que d’autres.

Le constat est qu’elle ne provoque pas le même engouement que la fête des Mères, qui est davantage prisée par les clients pour fréquenter les restaurants.

Les réservations

En ce qui a trait aux réservations, 15 % des exploitants sondés disent que leur établissement affiche déjà complet ou que les réservations sont nombreuses pour 31 % d’entre eux. Lorsqu’on leur demande si la situation est comparable ou non à l’an dernier, ils répondent à hauteur de 65 % qu’ils ont un nombre de réservations équivalent ou supérieur.

L’ARQ profite de l’occasion pour rappeler qu’il est important pour la clientèle de respecter la réservation prise ou d’informer le restaurateur en cas de non-présence.

Pour ce qui est de proposer un menu spécial, nous sommes à presque égalité, alors que 49 % des restaurateurs sondés le font, contre 51 % qui n’apportent aucune modification.

Une fête différente

Si on compare avec d’autres fêtes souvent soulignées au restaurant, telles Pâques ou la fête des Mères, le pourcentage d’établissements qui le font est tout de même beaucoup plus élevé pour la fête de l'amour.

On peut croire que ce soit relié au fait que le repas le plus prisé par les clients le 14 février est le souper, à 76 %, alors que pour les autres fêtes disons plus familiales, ce sont le déjeuner ou le brunch qui sortent en tête de liste.

Pour visualiser les données en un coup d’œil, l’Association vous invite à consulter le document suivant.

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